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Questions fréquentes

Tout savoir sur l'épilation laser

Généralement, plus l’épilation laser est commencée jeune, plus les retouches seront nécessaires dans les années à venir.

Il serait logique d’attendre la maturité hormonale pour traiter la pilosité, celle-ci se situe entre 25 à 30 ans chez la femme et vers 30 ans chez l’homme.

Néanmoins on peut commencer l’épilation au laser chez certains adolescents qui en souffrent énormément afin de pallier cette souffrance, puis d’arrêter progressivement afin de recommencer plus tard à la maturité hormonale.

Il faut bien se rappeler que le laser peut transformer le « duvet » en vrai poils plus longs, plus gros, plus nombreux au niveau des joues, pommettes, dos et seins.

En raison de forts risques de brûlure par le laser sur des peaux bronzées, il est donc préférable de débuter les séances en automne (sur une peau non bronzée) en raison d’une séance toutes les 6 à 8 semaines de manière à pouvoir éradiquer une bonne partie des poils avant l’été.
Il est donc préférable de ne pas s’exposer au soleil ni d’appliquer d’auto bronzant durant toute la durée de traitement ou tout au moins de venir non bronzé à une séance.

La réponse est oui.

En effet, pour les phototypes de 1 à 4, on utilise le laser Alexandrite et pour les peaux foncées, noires et bronzées, tannées c’est-à-dire les phototypes 5 et 6, le laser utilisé est le Nd YAG. Il est également préconisé pour le traitement des zones hormono-dependantes et des poils incarnés sur tous les phototypes.

Donc tous types de peaux seraient susceptibles d’être traitées par une épilation laser. En rappelant que le laser ne serait pas efficace sur les poils blancs, gris, blonds fins et roux en raison de l’absence de la mélanine qui est la cible du laser épilatoire.

La réponse est oui.

La douleur est le plus souvent modérée, parfois plus intense selon les zones et la densité pilaire.
Pour certaines zones comme le maillot, on peut préconiser une application d’une crème anesthésiante une à deux heures avant afin d’atténuer la douleur pendant la séance.

Après les séances, le médecin appliquera la Biafine afin d’apaiser les picotements. La douleur peut être largement atténuée grâce au système d’air froid pulsé ( cryo 6) qui est utilisé en même temps avec les nouvelles générations d’appareil laser permettant de grandes vitesses de traitement grâce à un refroidissement épidermique adapté pour une épilation laser efficace et bien tolérée en général.

Une douleur plus importante doit faire redouter une brulure et faire vérifier les paramètres ainsi que l’absence de bronzage et/ou d’exposition solaire, même minime.

Les brûlures sont secondaires à un bronzage, une exposition solaire même minime ou un mauvais paramétrage. Elles entraînent des bulles, croûtes et hyper ou hypopigmentations réversibles. Les cicatrices sont exceptionnelles.

Les autres complications sont la folliculite post laser et l’urticaire (comme après tout mode épilatoire).

Les effets secondaires sont limités à un œdème et érythème péri-pilaire, transitoires, disparaissant en une à deux heures après la séance.
Les complications ne sont pas fréquentes, à condition d’une bonne formation du praticien et une bonne compliance du patient. (Pas d’exposition solaire un mois avant et une semaine après les séances et utiliser un écran total).

Le faisceau du laser agit directement sur la tige pilaire.
C’est pour cela qu’il ne faut pas utiliser ni la cire, ni l’épilation électrique, ni la pince à épiler au moins un mois avant la séance de laser, car le faisceau du laser a besoin de la mélanine de la tige pilaire pour agir. Par contre, vous pouvez vous raser jusqu’à un à deux jours avant la séance si la pilosité est problématique pour vous, car le laser est moins efficace sur les poils longs (soit environ 2 millimètres).

Il faut éviter les séances UV, l’exposition au soleil ou mettre des autobronzants un mois avant le traitement au laser, éviter d’appliquer des parfums ou autres produits cosmétiques sur la zone à épiler.

Les résultats sont attestés par de nombreuses publications, expliquant l’engouement pour cette technique qui est l’épilation laser. Des récidives sont toujours possibles, après reprise de certaines contraceptions, de certains traitements ou même après une grossesse (influence hormonale). Dans certains cas, il faut accompagner ce traitement de séances d’épilation électrique, car tous les poils ne répondent pas au laser.

Il faut savoir que l’organisation des séances est basée sur le cycle pilaire. Le poil évolue de façon cyclique qui diffère d’un endroit à l’autre du corps, selon l’âge et l’individu. Un être humain naît avec un capital pileux de quelques cinq millions de follicules sur le corps qui sont répartis de la tête aux pieds.
Au même moment et sur une même zone du corps, des poils cohabitent dans les 3 phases de leur vie : anagène, télogène, et catagène.

Ce cycle pilaire dure entre 4 à 18 mois selon la localisation des poils.

Seuls les poils qui sont en phase anagène (croissance) soit 10 à 30 %, sont susceptibles d’être détruits par le laser, d’où la nécessité de recommander plusieurs séances pour venir à bout de toute la pilosité.

On préconise usuellement entre 6 à 8 séances qui varient en fonction de la couleur du poil, la couleur de la peau ainsi que la densité pilaire.

Parfois, certaines personnes s’aperçoivent une nette diminution de la pilosité au bout de la 5ème voir à la 6eme séance et ont envie d’arrêter le traitement. Il faut savoir qu’on peut encore parfaire le traitement en proposant par exemple pendant la période hivernale 2 à 3 séances à 12 semaines d’intervalle.

D’autres causes : les troubles de la fertilité, troubles hormonaux, hyper pilosité congénitale ou ethnique, hirsutisme, la prise de corticoïdes ou d’anabolisants (testostérone et apparentés..), des règles tardives ou cycles irréguliers amènent à prévoir des séances supplémentaires pour l’obtention d’un résultat durable et satisfaisant.

Contrairement aux idées reçues, le laser ne présente aucun risque de cancer de la peau car le laser utilise les rayons rouges et infrarouges afin de détruire la tige pilaire, alors que le cancer de la peau est provoqué par une exposition intense aux rayonnements UV du soleil.

Le laser ne présente non plus aucun risque pour d’autres organes car la cible du faisceau de laser est la mélanine de la tige pilaire et rien d’autre.

Par principe de précaution et en raison d’absence de données médicales et expérimentations effectuées, l’épilation laser est déconseillée aux femmes enceintes ainsi qu’aux femmes allaitantes. (Comme tout autre acte de la médecine esthétique).

Après les séances, il faut éviter d’appliquer les produits irritants sur la peau, de se baigner dans une piscine le jour du traitement, de faire une épilation à la cire, à la pince ou à la crème dépilatoire et de prendre des compléments alimentaires contenant de la vitamine A.

La réponse est oui.

Il faut bien tenir compte de l’âge du patient ainsi que de la zone à épiler.
Le mode d’action de l’épilation laser repose sur le concept de photo thermolyse sélective, avec comme cible la mélanine du follicule pileux comme chromophore. L’information du patient est non seulement une obligation légale depuis 2002, mais elle est particulièrement indispensable dans le cadre de l’épilation laser chez l’homme afin d’expliquer les limites de la technique et de ne pas induire des espérances irréalistes. A ce titre, la réalisation de clichés photographiques est conseillée dans un intérêt médico-légal.

Aujourd’hui, l’épilation laser n’est plus uniquement réservée aux femmes et concerne de plus en plus d’hommes, souvent jeunes, soucieux de correspondre aux changements de mentalité et de critères de beauté actuels, mais également par souci de confort.
Le dos, le torse et les épaules sont les zones pour lesquelles l’épilation est la plus demandée, suivies par ordre de fréquence de certaines parties du visage comme la région inter sourcilière ou l’harmonisation d’une « ligne » de barbe, et enfin les parties intimes.

Chez l’homme, et du point de vue anatomique, on notera deux différences principales :

– La barbe où la densité pilaire et le calibre du poil imposent une diminution dans le choix des paramètres d’intensité pour éviter une réaction trop violente en raison de la « richesse » de la cible, représentée par la mélanine du poil.

– Le dos et le thorax au niveau desquels une épaisseur cutanée plus importante et donc une profondeur plus importante de l’implantation du poil doit faire privilégier l’utilisation de spots larges et des appareils pénétrant le plus au niveau dermique, soit classiquement les lasers Nd: YAG long pulse. Les résultats les plus satisfaisants sont obtenus par ordre de fréquence sur le dos, les épaules et la nuque, et enfin le torse où une épilation permanente est rarement obtenue.

– Le pseudo folliculite de la barbe est, en revanche, un motif fréquent de consultation chez l’homme, d’autant plus que le phototype est élevé, situation dans laquelle les traitements médicaux ont montré leur limite.

La technique laser est la seule à même d’améliorer la situation des patients, avec une amélioration rapide des signes inflammatoires à condition de respecter les conseils de prudence déjà évoqués plus haut.
En effet, on peut proposer une épilation définitive aux hommes âgés de plus de 30 ans, ceci par souci d’efficacité. Car avant 30 ans, les poils sont encore sous influence hormonale et ils peuvent être à l’état de « duvets », et donc l’efficacité des séances de laser serait incertaine voire même reconduire à une repousse paradoxale.

Avant l’âge de 30 ans, l’épilation laser n’est pas recommandée chez l’homme en raison d’une instabilité hormonale, et cela d’autant qu’il existe un « duvet », sous peine d’une stimulation pilaire ou d’une hypertrichose paradoxale.
Après 30 ans, on peut tout à fait proposer des séances d’épilation au laser, tout en prévenant le patient que le laser peut-être moyennement efficace sur certaines zones du corps notamment les épaules, le haut du dos, le haut des bras et les pommettes.

Les mêmes précautions que chez la femme notamment le rasage uniquement avant les séances de laser ainsi que l’éviction solaire et l’absence de bronzage et/ ou d’application d’auto-bronzants seront recommandées.

Par rapport aux résultats obtenus et un contraintes des autres techniques d’épilation mécaniques traditionnelles (rasoir, cire, pince) ou l’usage des crèmes épilatoires, le technique laser apporte un réel progrès et a donc tout son intérêt chez l’homme, à condition d’effectuer 1 à 2 séances d’entretien par an pour les zones réputées difficiles.

Après le retour des vacances et /une exposition solaire entraînant un bronzage, il faut en moyenne attendre environ 4 semaines avant la reprise d’une séance d’épilation au laser.
Néanmoins, le médecin effectuera un test au préalable pour pouvoir adapter les paramètres en fonction de votre teint et vous confirmera si une épilation est recommandée ou pas.
On peut aussi adapter les paramètres du laser épilatoire même si votre teint est un peu hâlé au retour des vacances.
Le cabinet d’esthétique et de laser de Villeneuve la garenne est équipé des lasers pouvant effectuer des épilations sur des peaux encore hâlées ou foncées.

Les séances d’épilation au laser s’effectuent en moyenne tous les deux mois mais elles peuvent varier entre 6 à 8 semaines,  en fonction du cycle pilaire.

Il y a des médicaments photosensibilisants qui sont à éviter pendant toute la durée du traitement au laser : doxycycline, roaccutane, ciflox , noroxine, oflocet….
Le médecin fera un interrogatoire minutieux lors de la première consultation au préalable sur les antécédents médicaux du patient, ainsi que sur la prise médicamenteuse éventuelle puis en début de chaque séance pour être sûr d’utiliser des paramètres adéquats en fonction du type de peau , de la couleur et de l’intensité des poils.

Vos séances d'épilation laser

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Avec le Docteur Arbab